La majeure partie de l’espace CILSS se situe dans la zone climatique sahélienne : on estime à près de 70% la partie saharo-sahélienne de l’espace CILSS, c’est-à-dire recevant moins 300 mm de pluie par an en moyenne, et à 25% la partie purement sahélienne, c’est-à-dire enregistrant entre 300 et 750 mm de pluie par an.
Du point de vue éco-géographique, la zone sahélienne typique correspond au domaine climatique où les précipitations annuelles moyennes varient de 300 à 750 mm . Elle se situe entre la zone saharo-sahélienne ou sub-désertique (où la pluviométrie varie de 100 à 300 mm par an) et la zone soudanienne (qui enregistre une pluviométrie moyenne se situant entre 750 et 1200 mm). Les conditions climatiques dans le Sahel géographique (Sahel comme marge du désert) sont de tout temps marquées non seulement par la faiblesse de la pluviométrie, sa concentration sur une courte période de l’année, mais aussi la variabilité spatiale, annuelle et inter-annuelle de la distribution de la pluie. A cela se sont ajoutés depuis le début des années 1970, des dérèglements chroniques et de grande ampleur du climat, et donc du régime des pluies, se traduisant notamment par des séries de sécheresse ponctuées par des épisodes de famine et de pénuries d’eau de boisson.
La majeure partie de l’espace CILSS se situe dans la zone climatique sahélienne : on estime à près de 70% la partie saharo-sahélienne de l’espace CILSS, c’est-à-dire recevant moins 300 mm de pluie par an en moyenne, et à 25% la partie purement sahélienne, c’est-à-dire enregistrant entre 300 et 750 mm de pluie par an.
Du point de vue éco-géographique, la zone sahélienne typique correspond au domaine climatique où les précipitations annuelles moyennes varient de 300 à 750 mm . Elle se situe entre la zone saharo-sahélienne ou sub-désertique (où la pluviométrie varie de 100 à 300 mm par an) et la zone soudanienne (qui enregistre une pluviométrie moyenne se situant entre 750 et 1200 mm). Les conditions climatiques dans le Sahel géographique (Sahel comme marge du désert) sont de tout temps marquées non seulement par la faiblesse de la pluviométrie, sa concentration sur une courte période de l’année, mais aussi la variabilité spatiale, annuelle et inter-annuelle de la distribution de la pluie. A cela se sont ajoutés depuis le début des années 1970, des dérèglements chroniques et de grande ampleur du climat, et donc du régime des pluies, se traduisant notamment par des séries de sécheresse ponctuées par des épisodes de famine et de pénuries d’eau de boisson.