
L’AGRHYMET a abrité du 8 au 9 février 2023 un atelier d’identification des bonnes pratiques de restauration, de gestion et d’alternatives à l’exploitation des ressources pastorales, organisé par l’institut du Sahel (INSAH/CILSS).
Cette activité s’inscrit dans le cadre de l’exécution de la convention de subside signée entre l’Institut du Sahel (INSAH) et l’Agence Belge de développement (Enabel Niger) pour la mise en œuvre de l’étude de capitalisation des bonnes pratiques de restauration, de gestion et d’alternatives à l’exploitation des ressources pastorales initiée par le Projet de recherche et innovation pour des systèmes agro-pastoraux productifs, résilients et sains en Afrique de l’ouest (PRISMA), financé par l’Union Européenne. L’atelier a regroupé 18 participants intervenant dans le domaine de la gestion des ressources pastorales (Experts du CILSS/INSAH, Enabel, Ministères de l’élevage et environnement, services techniques, ONG, OSC, projets/programme et des personnes ressources).
« Le projet est orienté sur l’agropastoralisme, tout ce qu’on aura à produire comme recherche permettra aux agropasteurs et pasteurs de pouvoir développer leur activité principale qui est l’élevage » a fait savoir Madame Maïmouna Ousmane, Coordinatrice de PRISMA à Enabel lors de la cérémonie d’ouverture.
Lançant officiellement les travaux au nom du Directeur Général d’AGRHYMET empêché, le Prof Atta Sanoussi a remercié Enabel pour avoir associé l’INSAH du CILSS, à la mise en œuvre de l’objectif 1 du projet qui vise l’amélioration de la disponibilité et l’accès aux ressources pastorales par des pratiques de gestion durable capables de s’adapter au changement climatique, testées par la recherche et connues par les acteurs techniques et sociaux.
S’adressant aux participants, il a rappelé que le présent atelier vise à engager les acteurs qu’ils sont dans l’identification et la hiérarchisation participatives des meilleures initiatives et expériences de gestion durables des ressources pastorales, capables de s’adapter au changement climatique.
Pour rappel, le projet intervient dans trois pays à savoir le Mali, le Niger et le Burkina Faso.
